Au sommaire cette semaine :
Bonne nouvelle dans le paysage économique français : la Banque de France a relevé le mois dernier ses prévisions de croissance pour la France à 1,4 % en 2017, puis à 1,6 % en 2018 et 2019, en raison principalement de « l'embellie de l'environnement international ». Ce « regain de croissance mondiale » devrait stimuler l'activité, en favorisant un « rebond des parts de marché à l'exportation », souligne l'institution monétaire dans ses projections macroéconomiques semestrielles. Comment se portera la croissance française en 2018 ? Quels sont les atouts économiques de la France ? Toutes les réponses à vos questions avec Denis Ferrand, Economiste, Directeur Général de Coe-Rexecode.
Début octobre 2017, l’IRSN français et d’autres régulateurs nucléaires européens ont détecté un nuage radioactif de faible intensité au-dessus de l’Europe. Il venait vraisemblablement du sud de l’Oural, de Russie ou du Kazakhstan. Il n’y aurait eu aucune conséquence pour la santé des populations du continent, mais l’annonce a provoqué quelques émotions. Sébastien Gobert s’est rendu sur place, à la rencontre des employés de Tchernobyl. Dans une atmosphère étrange, qui mêle la normalité de la routine quotidienne à la mission historique qui consiste à protéger le monde de nouvelles émissions de radioactivité, ces employés s’affairent, et mènent leur vie, sur le site de la catastrophe nucléaire.
Dans un dernier contre-pied victorieux, la France l’a emporté dans la course à l’attribution de la Coupe du monde de rugby, qui se tiendra en France en septembre et octobre 2023. En dépit de la recommandation technique de World Rugby, la Fédération internationale, la candidature française l’a emporté sur celle de l’Afrique du Sud. Pour le London Times, c’est parce que la France « avait le plus gros carnet de chèques » qu’elle l’a emporté. L’occasion de revenir sur l’évènement avec Raphael Redon.